Les fils electriques comme des barbeles encerclaient les villes. Et la fumee des cheminees s effacait et se fondait rapidement au blanc du ciel. Les maisons grises, les batiments abandonnes et les clotures qui entourent de la terre, vide. Les planches eparpillees et quelques pietons, dans l ombre. La vie n existait qu a l interieur.
Nos rires et l alcool, de la couleur du ciel, linceul transparent. Nos danses habitees, leurs sourires et leurs peaux halees, brulees par le froid et le soleil. Sur la vitre, de la buee et des paysages a moitie. S y perdre et se meprendre. Ainsi paissent paisiblement les troupeaux.
Monday, October 8, 2007
Vides____
par Marion at 1:45 AM
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3 comments:
pas besoin d'images... l'image est partout...
L'alcool, ... linceul transparent.
Ça c'est une phrase à faire figurer sur les bouteilles de vodka plutôt que le logo "interdit aux femmes enceintes". Chapeau. (ou chapka plutôt)
les mots eclairent souvent les images nocturnes et floues, et les images parlent parfois un autre langage que les lettres, elles, ne bruisent pas, pareil...
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