Tuesday, October 30, 2007

26/10/07

Lever d ans l'anonymat d'un dortoir.
Blanc de la couette et des murs,
le ronflement des couche-tard.
7h23, j'aime que les pieces soient vides
de bruits et d'hommes,
je peux sentir la presence et les visages passes.
Les ombres qui murmurent encore ceux qui furent.
Qui de nous reviendra?

J'ai peine a croire les sillons que laisse l'absence et peine a imaginer les jours que tu vis.

1 comment:

Anonymous said...

La vérité de la présence ou de l'absence est dans la croyance de ceux qui pensent à nous, simplement.