Lever d ans l'anonymat d'un dortoir.
Blanc de la couette et des murs,
le ronflement des couche-tard.
7h23, j'aime que les pieces soient vides
de bruits et d'hommes,
je peux sentir la presence et les visages passes.
Les ombres qui murmurent encore ceux qui furent.
Qui de nous reviendra?
J'ai peine a croire les sillons que laisse l'absence et peine a imaginer les jours que tu vis.
Tuesday, October 30, 2007
26/10/07
par Marion at 7:49 AM
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
1 comment:
La vérité de la présence ou de l'absence est dans la croyance de ceux qui pensent à nous, simplement.
Post a Comment