L’immensitée revenait.
De la couleur brune de la terre, du violacé que prenaient les mousses éparses.
Mon esprit venait à divaguer.
Nomade comme le sont les peuples d’ici.
La route est vide. Nous ne croisons pas un véhicule par heure.
La terre infertile et infinie sur l’horizon.
Platitude, et sortis de nulle part, des massifs bleus, lointains.
Des troupeaux de chameaux et de moutons détalaient
en entendant le bruit de notre arrivée,
qui n’était que passage. Les villes étaient rares et inattendues.
Une colline derrière laquelle on aurait esperé rien d’autre que du sable ou des cailloux.
De la rocaille motone et si folle à en croire nos yeux.
Ebahie.
Thursday, October 25, 2007
15/10/07-380 kms
par Marion at 7:41 PM
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