Je couds mes souvenirs a la chair de mon oubli
qui se rememore dans les reves,
ceux-la memes qui deviennent fous, imprevisibles et vivants,
plus-que-jamais.
A la limite de l'ecoeurement, je me reveille en sursaut
lorsque le noir est omnipresent, ciel et yourte.
Immobile, j'attends que la lumiere chasse et evapore
ce qui demeure de mes nocturnes pensees inapprivoisees.
Taisez-vous_____________________
Monday, October 29, 2007
23/10/07
par Marion at 6:05 AM
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