Tuesday, October 30, 2007

27/10/07- UB/ Beijing- 1800kms

Etais-je partie trop tot ou n'aurais-je pas du rester aussi longtemps ?
a en aimer ce pays.
Contre-coup de l'alcool danse, dansee la nuit, melancolie fatiguee,
Gobi s'etend toujours devant moi,
comme un homme que l'on aurait aime,
dans un port ou dans chaque ville.
le gout de l'exotisme, de vos yeux brides.
le degout de partir.
Je ne veux parfois plus d'ailleurs,
mais appronfondir, apprivoiser l'inconnu decouvert.

Il y a des amours coups de foudre et de ceux qui peinent a naitre et usent davantage a tuer dans l'oeuf.
(A reculons, j'ai traine mes premiers pas lorsque je suis rentree dans la ville ;
tant aime tout, sauf la Ville.)

Pourquoi nous tenir a une vie ?
Pourquoi se barricader a nos choix passes ?

3 comments:

Neeko said...

oh marion ! que la ville doit te paraitre ... en fait je ne trouve aps les mots, mais j'imagine ..; courage petite marion courage !!
re gros bisous (je passe partout !)

Marion said...

imaginons ensemble... car la vie/ ville est celle que nous ressentons, non celle qui s'etend devant nos yeux

Anonymous said...

Personne ne sort intact(e) du désert, ou alors il(elle) n'y est pas entré(e)